La Norville Aïkibudo
AÏ : "unifier"
KI : "énergie"
BU : "martial"
DO : "voie"
Traduction littérale : "la voie de l'harmonie par la pratique martiale"
Qu’est-ce que l’Aïkibudo ?
L’Aïkibudo, “la voie de l’harmonie par la pratique martiale”, est un art de défense qui puise ses racines dans les techniques guerrières du budo japonais.
Le fondateur, maître Alain Floquet, a été élève des plus grands maîtres au Japon : Minoru Mochizuki pour le Yoseikan, Sugino Yoshio pour l’art du sabre de l’école Katori Shinto Ryu.
Alain Floquet a également puisé dans son expérience de policier et de membre de la brigade anti-commando pour réaliser un art de défense efficace, vivant et évolutif, adapté au monde moderne.
L’Aïkibudo est discipline cofondatrice de la Fédération Française d’Aïkido, Aïkibudo et Affinitaires (FFAAA). Il est présent en France mais également dans de nombreux pays en Europe et au-delà : Canada, Hollande, Suisse, Maroc, République Tchèque, Bulgarie, Russie, Mexique…
Est-ce de la self-défense ?
Le pratiquant d’Aïkibudo apprend à se défendre contre tous types d’attaques, saisies ou frappes, à mains nues ou avec armes. Les techniques sont basées sur l’esquive et la canalisation de la force adverse, et l’éventail technique est riche et varié : déséquilibres, projections, immobilisations, étranglements.
L’Aïkibudo ne se cantonne toutefois pas à un catalogue de techniques de combat ou de self-défense : il aspire, par la pratique martiale, à la construction mentale et physique de chaque individu.
Qui peut pratiquer ?
L’apprentissage est basé sur l’entraide et une pratique souple qui permet à chacun de progresser à son rythme. Tour à tour, chaque partenaire prend le rôle de l’attaquant ou du défenseur.
Basé sur l’esquive et la canalisation de l’attaque d’une part, et sur l’utilisation d’une connaissance fine de l’anatomie et des clés articulaires, il permet de se défendre contre des personnes de tous gabarits. Ainsi, contrairement à des sports de combat, il n’existe pas de catégorie de poids ou de compétition en Aïkibudo. L’absence de recours à la force physique ou des qualités athlétiques rend la pratique accessible à tous.
Les cours sont ouverts aux adultes et adolescents et de nombreux clubs disposent d’une section enfant.
Quelle est la tenue ?
Pour un cours d’essai, il suffit de venir avec une tenue de sport confortable.
Puis le pratiquant devra se procurer un keikogi blanc (souvent appelé kimono), comme dans les autres arts martiaux d’origine japonaise, judo, karaté. De plus, à partir de la ceinture noire, le pratiquant peut revêtir le hakama, pantalon large plissé traditionnellement porté par les samouraïs.
Source : L'Aïkibudo - Ligue Île-de-France (aikibudo-idf.fr)
Maître Alain Floquet
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9ème Dan Kyoshi d'Aïkibudo
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8ème Dan de Katori Shinto Ryu
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5ème Dan de Iaï-Jutsu Yoseikan Shinto Ryu
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Kyoju Daïri de Daïto Ryu Aïki-Jujutsu (décerné par le Soke Takeda Munemitsu)
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Directeur Technique de la Fédération Internationale d'Aïkibudo (FIAB)
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Fondateur du C.E.R.A. (Cercle d'Etudes et de Recherches sur l'Aïkibudo)
